Les technologies de fertilisation mises au point par Marcel Mézy®, comptent parmi les solutions contre le réchauffement climatique proposées par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) pendant la COP21. Ces technologies, référencées par l’ADEME dès 1999, sont ont été présentées par MEZAGRI et SOBAC, qui respectivement les élaborent et les commercialisent. Elles sont les seules entreprises du secteur agricole retenues par l’ADEME à avoir participé à cet événement international majeur.
En développant l'humus, les Technologies Marcel Mézy
contribuent à la réduction des GES en favorisant le stockage
du carbone dans le sol
Lors du processus de photosynthèse, le CO2 de l'air est capté. Le procédé MM fixe spectaculairement ce carbone dans le sol en le recyclant. Il enrichit ainsi la réserve nutritive du sol qui permettra aux racines de se nourrir régulièrement et naturellement. Le bon développement racinaire optimisera l'échange "sol-plante" en éléments minéraux et en eau, assurant une bonne croissance à la plante. Cette fixation de carbone se visualise nettement dans toutes les expérimentations faites en laboratoire.
Les résultats d'expérimentations réalisées par Sobac avec des partenaires scientifiques et institutionnels :
AgroParisTech
Travail sur la contribution du Bactériosol® contre l'effet de serre.
Une étude a été menée en 2006 par un ingénieur travaillant sur le projet Grignon Energie Positive à l'Exploitation Expérimentale d'AgroParisTech. Il a comparé les coûts en équivalent Carbone (C) et en équivalent dioxyde de carbone (CO2) d'une tonne de fabrication d'engrais par rapport à une tonne de Bactériosol® en suivant la méthode Carbone telle que le pratique l'ADEME. Il ressort qu'une tonne d'ammonitrate (33,5% d'azote) possède un coût de 368 kg équivalent C alors que celui d'une tonne de Bactériosol® est de 160 kg équivalent C. De même, une tonne d'ammonitrate (33,5% d'azote) a un coût de 1348 kg équivalent CO2 alors que celui d'une tonne de Bactériosol® est de 585 kg équivalent CO2. La contribution du Bactériosol® à l'effet de serre est donc 2,3 fois moins importante que celle d'un engrais azoté.
En reprenant les quantités moyennes d'engrais (NPK) utilisées à l'hectare (collectés lors de l'étude ADEPRINA sur vaches allaitantes), on s'aperçoit qu'une exploitation-type de 100 ha travaillant dans le système Bactériosol® possède en moyenne un coût en équivalent C ou CO2 diminué de 45% par rapport à la même exploitation travaillant conventionnellement.
Université de Picardie Jules Verne
Le Bactériosol® est un puits de carbone qui agit favorablement sur les processus d'humification et sur l'amélioration du bilan nutritionnel des cultures.
Expertise faite en laboratoire dans le cadre du partenariat entre SOBAC et l'Université de Picardie Jules Verne.
Analyses des teneurs locales au sein des zones activées par le Bactériosol® (expériences sur sable pur, zones noircies correspond aux processus d'humification après 8 semaines)
Matière organique multipliée par 6,1 : elle passe de 0,2 à 1,22 %
Régulation du pH : il passe de 8,9 à 7,3
Doublement de la CEC : elle passe de 22 à 44 mé/Kg
Calcium échangeable : x 2,6
Phosphore : x 2,4 pour JH et x 3,4 pour Olsen
Potasse : x 7
Magnésium : x 2
Soufre : x 5,4
Réserve utile : + 18 %
Conductivité : x 2,3 et doublement des ions disponibles
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