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ECONOMIES D'EAU

et porosité des sols

PRODUCTION D'HUMUS



STOCKAGE DU CARBONE



FERTILISATION NATURELLE



SOLUTION ÉCONOMIES D'EAU



RESTRUCTURATION DES SOLS "MORTS"

Le procédé Marcel Mézy permet d'optimiser les ressources en eau et de mieux affronter les sécheresses.

En créant et en développant la teneur en humus, le procédé MM permet au sol de mieux retenir l'eau tout en lui donnant une bien meilleure porosité. En améliorant la structure de la terre, l'humus a une incidence directe sur la qualité du sol. Une terre bien structurée laisse circuler l'air et l'eau dans le sol, permettant une bonne croissance des racines. Le sol retient également plus facilement l'eau, tout en facilitant le drainage lorsque le sol est saturé après un arrosage ou des précipitations. L'humus fait office d'éponge et emmagasine 10 fois plus d'eau dans le sol. En rendant l'eau davantage disponible et plus longtemps dans le temps, il évite ainsi aux plantes un manque d'humidité en période de sécheresse.

Ces effets sont constatés sous différents climats comme en témoignent de nombreux utilisateurs. En cultures céréalières par exemple, un maïs cultivé sur un sol fertilisé avec le procédé MM s'avère beaucoup plus résistant à la sécheresse qu'une culture fertilisée chimiquement. En zones sèches, ce pouvoir permet d'optimiser les faibles ressources en eau.

Quelques témoignages de paysans sur les économies réalisées par la réduction ou par la suppression totale des intrants grâce à l'utilisation du procédé MM commercialisé par Sobac. (Utilisateurs SOBAC marques BACTERIOSOL® BACTERIOLIT® et BACTERIOLIT CONCENTRE®) :

 

GRANDES CULTURES - Pas-de-Calais - Exploitant : M. Alexandre Rivenet
« L'année dernière, je n'ai pas irrigué alors que c'était une année assez sèche. Les plantes n'étaient pas stressées. J'ai arrosé sur des parcelles de pommes de terre que je prends en location et qui avaient pour la première fois du Bactériosol®. Sur celles qui en avaient reçu plusieurs fois, je n'ai pas irrigué. »

 

GRANDES CULTURES - Indre - Exploitant : M. Alain Baillon
« L'été 2004, on a eu une période de sécheresse et fin août, il a plu. Sur une parcelle de trois hectares, j'avais de la luzerne plantée en 98 qui avait disparu et elle se remettait à pousser. »

 

OVINS LAIT - Aveyron - Exploitants : MM. Jean-François Barthes et Patrick Privat
« On a une parcelle que l'on a semée en septembre 2002 avec un mélange dactyle, ray-grass anglais et brome. Elle a survécu à toutes les sécheresses. »

 

VITICULTURE - Maine et Loire - Exploitants : MM. Joël et Bruno Dittière
« On vient de passer deux années de sécheresse et par rapport à des vignes de collègues, l'herbe résiste mieux et le feuillage est bien. »

LES SOLUTIONS

SOLUTION SOLS SALÉS



VALORISATION DES DÉCHETS ORGANIQUES



SOLUTIONS ALIMENTAIRES



EFFETS BIODIVERSITÉ